C’est avec grand plaisir que nous avons accueilli le 5 septembre au laboratoire MM. Alexandre Legris, directeur exécutif de l’Agence de Programme sur l’Energie Décarbonée au CEA, et son collaborateur Philippe Azais (CEA), qui nous ont présenté cette nouvelle agence et son rôle majeur dans la transition énergétique.
Accompagnés de la directrice Francoise Massines, ils ont découvert l’infrastructure de recherche unique au monde FR-solaris, avec le four solaire de 1 MW à Odeillo et la centrale à tour de 5 MW à Targassonne et apprécié l’ensemble des travaux de recherche du laboratoire.
Année : 2024
Définir le cahier des charges permettant de concevoir une installation solaire spatiale pouvant permettre de fondre et retraiter les déchets gravitant en orbite terrestre.
Les Masteriales 2024
Le 21 juin, les stagiaires de Master II ont présenté leurs travaux de recherche au laboratoire
C’est avec grand plaisir et une grande fierté que nous avons accueilli le 13 juin au laboratoire PROMES CNRS, sur les sites d’Odeillo et de Perpignan, et à la centrale solaire Thémis de Targasonne, Monsieur Lionel Buchaillot, directeur de CNRS Ingénierie.
Françoise Massines, la directrice du laboratoire, et l’ensemble des personnels ont fait découvrir nos installations solaires exceptionnelles et les recherches menées à PROMES CNRS. C’est avec brio que les doctorants ont illustré la diversité des sujets.
Cette année, 4 de nos talentueux doctorants ont reçu leur diplôme des mains du président de l’UPVD, Yvan Auguet, au cours de la cérémonie qui s’est déroulée à Perpignan au Palais des Rois de Majorque le 14 juin 2024
Ce prix est décerné au meilleur article, à la meilleure présentation lors du Congrès de la SFT (Strasbourg, 4-7 juin 2024).
Contexte : La thèse se déroulera au laboratoire PROMES, sur le site d’Odeillo, dans le contexte du projet ANR SiCSun.
Le projet SiCSun a pour objectif d’apporter la preuve de concept d’un récepteur solaire (RS) en carbure de silicium (SiC) mettant en oeuvre des particules comme fluide caloporteur ou milieu réactif (voir schéma de principe ci-après). Il a également pour ambition d’étudier les enjeux scientifiques et technologiques associés au développement de cette innovation. Il s’agit en particulier de développer des outils de conception, de contrôle/commande et de maintenance prédictive pour la maîtrise des transferts thermiques pariétaux, des écoulements gaz-particules et des contraintes thermomécaniques.
23èmes JDocs de PROMES
Ces journées des doctorants ont eu lieu au four solaire d’Odeillo les 28 et 29 mai 2024
Le mercredi 15 mai 2024, la flamme des Jeux olympiques Paris 2024 a traversé les Pyrénées-Orientales. Partie du Canigó elle a fait étape à Font-Romeu. De nombreux relayeurs ont eu la chance de porter ce symbole de l’olympisme. Un magnifique spectacle son et lumières et un feu d’artifice de drones au Four solaire, laboratoire PROMES du CNRS, ont clôturé la soirée.
Contexte : Les systèmes de conversion photonique (spectre visible ou infra rouge) utilisent en très grande majorité des jonctions à base de semiconducteurs. La technologie à base de silicium est la plus répandue pour fabriquer des cellules photovoltaïques (rendement maximum : 27,6%). Sous concentration solaire, les rendements des cellules multijonctions à base de semiconducteurs III/V (arséniures et phosphures) sont les plus élevés (rendements max 47,1%, 6 jonctions à 143 soleils [1]). Ces cellules sont également candidates aux applications de couplage CSP/CPV (Concentrated Solar Power/Concentrated PhotoVoltaics). Mais leur réalisation est chère et complexe. Les antimoniures sont actuellement à l’étude pour fabriquer des cellules multijonctions. En effet leur utilisation simplifie grandement le processus de fabrication puisqu’elle permet une croissance monolithique de la structure sur un seul substrat. Le laboratoire PROMES (UPR 8521 CNRS en convention avec l’UPVD) collabore en région dans le cadre du LABEX SOLSTICE avec l’IES de Montpellier (Institut d’Électronique et des Systèmes), pour développer des cellules PV multi-jonctions à base d’éléments III du tableau périodique des éléments et d’antimoine (Sb) types AlxGa1-xAsySb1-y et AlxIn1-xAsySb1-y, pour des applications CPV [2, 3, 4]. Ces mêmes antimoniures sont également étudiés pour application à la vision nocturne puisque leur petit gap permet de convertir des photons dans l’infrarouge.